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C’est la fin des querelles de clocher pour les partis pirates français. Désormais, seule la formation qui s’est présentée à la législative partielle des Yvelines portera ce nom.




S’il n’est pour l’heure qu’un microcosme politique marginal, le monde des partis pirates français a quand même réussi l’exploit de faire très compliqué avec trois formations concurrentes. Désormais, il n’en reste qu’une.


Début septembre 2009, le Parti pirate, qui avait présenté un candidat à une législative partielle dans les Yvelines et le Parti pirate français canal historique avaient décidé de ne plus faire qu’un, sous la bannière du premier. A la fin du même mois, c’est la formation parallèle, le Parti pirate français, créée par Rémy Cérésiani, qui s’est sabordée.





Le Parti pirate… piraté


Le Parti pirate français appelle désormais les internautes à rejoindre le Parti pirate qui a glané 2 % des voix lors du scrutin du 20 septembre. Dans un communiqué publié hier, lundi 28 septembre, il indique aussi avoir remboursé la soixantaine d’adhérents de leur cotisation. Il abandonne également au Parti pirate, désormais unique détenteur de cette appellation, la gestion de la page Facebook qu’il avait créée.


Il est vrai que la situation commençait à virer à la farce, avec des partis pirates français qui se tiraient dans les pattes tout en se réclamant chacun de leur homologue suédois. Les règles de l’art politique, en somme, mais pas forcément au meilleur sens du terme…


Ironie de l’histoire, la formation de Rémy Cérésiani avait été victime d’un piratage informatique au cours de ce mois de septembre, et avait alors dû démentir toute velleité de dissolution.




Source : 01net




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