Il faut le savoir, les sites et logiciels de la sélection qui suit n’ont signé aucun accord avec les ayants droit.
Cependant, ils existent toujours, et contribuent à leur manière à l’établissement d’un nouveau modèle de consommation de la musique sur Internet. Deezer, Spotify et consorts n’étaient-ils pas considérés comme illégaux à leurs débuts?
Sans plus attendre, voici le top 3 des meilleurs sites pour dénicher ses MP3 :
1. Songr :
Songr vous permet d’écouter et de télécharger gratuitement toutes sortes de chansons disponibles sur Internet. Avec une facilité déconcertante.
Rien à voir avec un logiciel de peer-to-peer (P2P) à la LimeWire ou un client permettant de lire de la musique en streaming comme Spotify.
Lancez une recherche (par titre, artiste ou paroles de chanson) et le programme exploite et passe en revue 10 moteurs de recherche spécialisés pour vous sortir tous les morceaux correspondants. Y compris les vidéos YouTube en rapport. S’affichent alors la durée, le bitrate et la taille du fichier, ainsi que le moteur de recherche utilisé.
Vous pouvez soit choisir d’écouter les chansons en direct via Windows Media Player, soit les télécharger en MP3 sur votre disque dur.
2. BooMP3 :
BooMP3 est un service en ligne totalement gratuit qui permet d’héberger des musiques au format mp3 et de les diffuser sur son blog dans un tout petit lecteur très simple à intégrer.
Bien sûr, puisqu’il est possible de déposer / d’envoyer / d’ uploader des fichiers mp3, BooMP3 est également une source impressionnante pour trouver des musiques en mp3 grâce à tous les utilisateurs qui y mettent leur propres musiques ! Pour effectuer une recherche, il suffit d’utiliser le champs de recherche en haut à droite du site BooMP3.
L’autre option pour faire une recherche et trouver des musiques est de passer par la liste complète des fichiers mp3 uploadés (envoyés) ordonnée par ordre alphabétique et accessible via le lien “all uploaded files”.
3. Coda.fm :
Coda.fm est site spécialisé dans la musique. La recherche s’effectue par album, artiste ou par genre. C’est une vrai encyclopédie musical à la disposition de tous via le réseau torrent. Bien qu’il est interdit de télécharger des fichiers illégaux, sachez que néanmoins, vous pourrez acheter les musiques que vous aimez par l’intermédiaire de liens commerciaux auquel propose Coda.fm. (Généralement, un internaute, qui est séduit par une musique, achète l’album)
Ouvert au début de l’année, Coda.fm a déjà commencé à fédérer une communauté autour de lui. Les utilisateurs ajoutent tous les jours les torrents des fichiers à partager, et une petite équipe de modérateurs bénévoles se charge de valider chacun des albums ajouté, en associant les métadonnées correspondant à chaque disque. Tous les liens de téléchargement des albums sont accompagnés de leur pochette, une critique rédigée, la date de sortie, la biographie de l’artiste, la tracklist ou les albums similaires que pourraient apprécier les utilisateurs.
]]>Le Top 3 pour cette année 2011 est exactement le même que celui de 2010 : Aucun changements !! C’est dans la suite du classement que nous trouvons de nouvelles entrées, avec l’arrivée de jeunes outsiders.
Il est regretable de voir que l’intégralité du classement concerne des sites américains ayant pour langue principale l’anglais.
Si vous connaissez un bon site, qui n’est pas présent dans le classement, n’hésitez pas à nous en faire part en commentaires !
The Pirate Bay est probablement le site de partage BitTorrent le plus connu sur la toile. Le site crée en 2003 est toujours en pleine expansion, malgré les attaques répétées de la justice à son encontre.
Alexa Rank: 76 / Compete Rank: 412 / Last year #1
Torrentz est le leader incontesté des moteurs de recherche de torrent sur Internet depuis quelques années.
Alexa Rank: 164 / Compete Rank: 927 / Last year #2
L’année 2010 fut difficille pour Isohunt, après l’implémentation d’un filtre de mot clés dans son moteur de recherche par la MPAA. Malgré ce retournement de situation, Isohunt reste le troisième plus gros site BitTorrent en termes de traffic. En 2011, Isohunt espère se débarasser de ce filtre devant la cours d’appel.
Alexa Rank: 194 / Compete Rank: 2,154 / Last year #3
KickassTorrents représente la plus forte montée de la part d’un outsider. 11ième l’an dernier, il se classe directement à la 4ième place cette année. Cette croissance est en grande partie due aux nombreuses fonctionalités et améliorations apportées au site. De plus, c’est un des rares sites du genre à ne comporter aucune bannière plubicitaire sur le site.
Alexa Rank: 289 / Compete Rank: 897 / Last year #11
BTjunkie a eu une année plutôt tranquille, ce qui est une bonne nouvelle pour un site de ce genre. La seule actualité est la suppresion de la page d’accueil du site de la part de google après une plainte de la DMCA.
Alexa Rank: 299 / Compete Rank: 987 / Last year #5
L’impossible est arrivé/ Demonoid a fini l’année 2010 avec un temps considérablement réduit de maintenance et d’indisponibilité du site, par rapports aux moins entiers de l’année précédente. La semaine dernière, le site a annoncé changer de nom de domaine. Il trocquera son .com par un .me pour faire face au récentes saisies de noms de domaine.
Alexa Rank: 465 / Compete Rank: 1,647 / Last year #20
ExtraTorrent est l’un des plus robuste, et ne fais pas de vagues dans la presse. En 2010, celui n’a cessé de croitre, et a ainsi gagné 2 places au classement.
Alexa Rank: 519 / Compete Rank: 2,208 / Last year #9
TorrentDownloads se classe dans la même catégorie qu’Extra Torrent. C’est un site qui indexe des milliers de torrents et ne fait pas trop de vagues.
Alexa Rank: 736 / Compete Rank: 1,119 / Last year #7
TorrentReactor a réussi à duper la presse l’an passé quand le site a annoncé avoir acheté une ville entière en Russie, ce qui lui a apporté une publicité non négligeable. Cependant, TorrentReactor semble avoir perdu des visiteurs, notamment grâce aux sanctions apportées par Google en terme de SEO.
Alexa Rank: 1,088 / Compete Rank: 1,972 / Last year #6
LimeTorrents est le meilleur outsider 2010 en termes de traffic, ce qui laisse présager de bonne choses pour cette année 2011. Le site crée il y a 1 an et demi, se loge déjà dans le top 10 des meilleurs sites bittorent. Son nom nous rappelle un certain « Limewire » qui est tombé il y a de cela quelques mois.
Alexa Rank: 1,160 / Compete Rank: 7,127 / Last year #na
Une mention spéciale pour EZTV
S’il y a bien un site qui mérite une mention spéciale, c’est bien EZTV. Le leader dans la catégorie « Séries TV » a failli rentrer dans le Top 10, mais à cause de la saisonalité de son contenu, celui-ci perd du traffic durant l’été et les vacances. If there’s one site that deserves an honorable mention it’s EZTV. De plus, le traffic d’EZTV ne dépend que très peu des moteurs de recherche à l’inverse des indexeurs de torrents. Et pourtant, EZTV reçoit plus de 30 millions de visiteurs chaque mois, et continue de grandir.
]]>Un peu plus de deux ans après votre lancement officiel, en octobre 2008, où en est Spotify ?
Avec 10 millions d’inscrits dans sept pays en Europe, dont 750 000 payants, nous sommes le premier site d’écoute de musique en ligne du continent. Bientôt, grâce à la facilité d’usage et d’accès de services comme Spotify, le piratage de la musique n’aura tout simplement plus lieu d’être.
Pardon ?
Nous avons trouvé le bon « mouse trap » (piège à souris), comme on dit dans le métier (rires), pour amener les internautes à une nouvelle forme de consommation musicale et les détourner d’un piratage qui devient de plus en plus coûteux dans tous les sens du terme. Notre conviction, c’est que la possession ou le téléchargement de musique en ligne et sur mobiles vont être vite dépassés par des services de streaming comme Spotify, disponibles partout et tout le temps. Nous voulons apporter la preuve qu’il existe des solutions technologiques capables de mettre fin à la crise dans laquelle se débat le secteur depuis une dizaine d’années.
Quels enseignements peut-on tirer de l’évolution du marché scandinave, le plus mature pour Spotify, celui à partir duquel vous avez commencé à rayonner ?
Ils sont très positifs. Le marché suédois, longtemps plombé par la présence de Pirate Bay, renoue avec l’optimisme. Plusieurs labels ont déclaré récemment que leurs revenus issus du numérique étaient désormais supérieurs à ceux du marché physique. La transition va à toute vitesse. Nous avons 1 million d’abonnés en Norvège, pratiquement 25% de la population du pays est branchée sur Spotify !
La part des abonnés payants parmi vos 10 millions d’inscrits reste encore très minoritaire…
C’est normal, on est au tout début de l’histoire. Le nombre de nos usagers basculant en payant s’accélère de mois en mois, et la plupart choisissent la formule la plus chère, qui permet d’utiliser Spotify sur son mobile et de se promener avec 10 millions de titres en permanence dans la poche. À 10 euros par mois, soit 2,5 euros par semaine, moins cher qu’un cappuccino à Stockholm.
Les maisons de disque, en France, ne croient pas au streaming gratuit financé par la pub. Elles pensent que ce modèle n’est pas pérenne et qu’il développe des mauvaises habitudes. Votre avis ?
Une mauvaise manière de voir les choses. L’internaute qui utilise gratuitement Spotify s’éloigne du piratage, c’est fondamental. Ensuite, ce sont nos utilisateurs gratuits qui, après avoir découvert le service, vont se mettre à payer. Plus la base de Spotify s’élargit, plus nos recettes issues des abonnés payants et partagées avec les producteurs et ayants droit grossissent. Enfin, Spotify est une formidable vitrine pour les maisons de disques et leurs artistes, là aussi gratuite.
Le gratuit a donc un grand avenir…
Il ne faut pas rêver, tout le monde ne va pas se mettre à payer demain. Beaucoup se contenteront d’une écoute gratuite, plus limitée. Pour eux, c’est le modèle de la radio, basé sur la publicité et qui a fait toutes ses preuves, qui s’appliquera. Google, par exemple, tire 21 dollars [15 euros, ndlr] par an en revenus publicitaires de chacun des internautes qui l’utilisent à longueur de journée, pourquoi voulez-vous que les services de musique en ligne n’y arrivent pas ? En Suède, ce débat est désormais clos, plus personne n’en parle ; tout simplement parce que l’on a prouvé concrètement à nos partenaires du monde de la musique que ce modèle fonctionne.
Source : Paru dans Libération du 24 janvier 2011
]]>En effet, beaucoup d’utilisateur ne savent pas vers quel service se tourner. Avec l’arrivée d’HADOPI, les services de protection de l’anonymat se sont multipliés, rendant le choix de l’internaute bien plus difficile. Malgré cela, il n’en reste pas moins bénéfique pour le consommateur. En effet, l’atomicité des providers a pour conséquence de faire baisser les prix et de proposer une offre plus importante ainsi qu’une nécessité d’innovation permanente.
Pour les plus novices d’entre vous, nous allons commencer par une définition simplifiée de chacun de ces services :
VPN : Il s’agit d’une sorte d’extension de votre réseau local qui préserve la sécurité que vous n’avez pas au niveau de celui-ci. Non seulement les échanges sont cloisonnés, mais ils sont aussi cryptés. De l’extérieur il devient impossible de connaître la nature des données envoyées ou de leur volume.
Seedbox : Une Seedbox est un serveur informatique privé qui est dédié au téléchargement et à l’émission de fichiers numériques. Généralement, les Seedbox utilisent le protocole BitTorrent pour émettre et recevoir les données.
Concernant les Seedbox il existe 2 façons de procéder : Soit vous faites appel à un prestataire de Seedbox qui vous fournit un service complet (accès à ses serveurs, mis à disposition d’une interface de gestion, support technique …) ou vous pouvez seulement louer un serveur auprès d’un hébergeur et installer vous-même votre interface de gestion d’une seedbox.
Vous l’aurez compris, la première solution est plus couteuse, mais la seconde requiert un niveau avancée de connaissances informatiques.
Ainsi, la principale différence entre ces 2 services réside dans le mode de fonctionnement : Le VPN remplace votre IP par une autre (pour faire simple) alors que la Seedbox télécharge le torrent sur ses serveurs à votre place.
Une nouvelle étude menée par deux chercheurs américains souligne le bénéfice global du partage d’oeuvres pour la société. S’ils ne contestent pas que le « piratage » a un impact sur l’économie de l’industrie culturelle, les deux académiciens mettent en balance les avantages procurés par le peer-to-peer. Et d’affirmer que la création artistique saura survivre à n’importe quel évènement.
Alors que l’administration Obama est déterminée à lutter de toutes ses forces contre le piratage, phénomène qu’elle considère comme du « vol » et une « menace pour la sécurité nationale », une nouvelle étude menée par deux chercheurs américains vient nuancer les affirmations définitives du gouvernement américain et de l’industrie du divertissement en matière de téléchargement.
Présenté la semaine dernière à l’occasion d’une conférence de l’industrie de la musique à Vienne, le rapport souligne à nouveau (.pdf) le caractère positif du partage de contenus culturels. Selon les deux académiciens, Felix Oberholzer-Gee, de l’université d’Harvard, et Koleman Strumpf, de l’université du Kansas, le peer-to-peer a favorisé la création.
« La publication de nouveaux livres a augmenté de 66 % entre 2002 et 2007. Depuis 2000, les sorties annuelles de nouveaux albums de musique ont plus que doublé, et la production mondiale de films a bondi de plus de 30 % depuis 2003″ ont noté les deux experts, cité par Techdirt. En clair, la créativité a été dopée grâce au partage des contenus culturels.
Pour autant, ils ne contestent pas un quelconque impact financier sur l’industrie du divertissement. Mais son importance doit être nuancé par les bénéfices directs et indirects apportés par le peer-to-peer. Et dans l’absolu, même à imaginer la banqueroute complète de l’industrie de la musique, cela n’empêchera pas les musiciens de prendre du plaisir à jouer et à enregistrer de nouvelles chansons.
Malgré les cries d’orfraie des ayants droit, le numérique et Internet ont été des tremplins inespérés pour les jeunes artistes. Ils ont pu se constituer un public, même restreint, sans l’aide des grandes maisons de disques. Si le risque peut sembler plus grand, cela offre en parallèle une plus grande latitude aux artistes de faire ce qu’ils veulent.
Pour les chercheurs, la baisse des ventes de musique peut aussi s’expliquer à travers l’explosion de nouvelles activités culturelles. Dans la mesure où l’industrie du divertissement ne se limite pas aux seules majors, il faut prendre en compte la multiplication des moyens de divertissement, comme le jeu vidéo et le cinéma.
Ces deux dernières activités sont d’ailleurs en progression rapide depuis le début du millénaire. Or, le budget d’une famille n’est pas extensible. Dès lors, il n’est pas rare ou anormal de faire quelques arbitrages afin de mieux répartir l’argent accordé au poste des loisirs. Mais encore faut-il que l’industrie du disque prenne en compte la concurrence des autres modes de divertissement.
Deux autres points sont soulevés par cette étude. D’une part, la progression rapide des technologies a conduit l’industrie du disque à lancer régulièrement de nouveaux formats : vinyles, albums K7, CD et maintenant fichiers numérisés, pour ne citer que les grandes étapes technologiques. Avec une rétrocompatibilité quasi-inexistante, beaucoup se sont tournés vers les réseaux peer-to-peer, lassés de payer plusieurs fois pour un même titre.
Les chercheurs se sont aussi intéressés sur l’utilisation réelle des fichiers téléchargés. Sont-ils tous consommés ? Selon leurs conclusions, c’est loin d’être le cas. Ils ont analysé les statistiques de lecture de 5 600 iPod. Au final, près des deux tiers des fichiers musicaux présents sur un iPod ne sont pas écoutés par l’utilisateur. Cela représente un peu plus de 2 300 titres sur 3 500 (le nombre moyen de fichiers musicaux d’un iPod).
En d’autres termes, toutes les musiques téléchargées ne sont pas nécessairement consommées par l’internaute. Le coût d’une copie étant pratiquement nul, on peut imaginer que les internautes peuvent être amenés à télécharger un « surplus » qu’ils n’auront pas le temps de consommer.
Dans ces conditions, même à supposer – comme l’affirment les ayants droit – qu’un fichier téléchargé entraine systématiquement un perte commerciale, il faut dans ce cas de figure ne pas comptabiliser le « surplus piraté » qui n’est pas consommé. L’impact du piratage est alors relativisé par le réel usage du consommateur.
« Notre approche… reflète l’intention initiale de la protection du droit d’auteur, qui a été conçu non pas comme un programme d’aide sociale pour les auteurs, mais pour encourager la création de nouvelles oeuvres » ont précisé les deux académiciens. Et de conclure que l’industrie musicale dans son ensemble a su s’y retrouver financièrement, notamment grâce aux concerts et au merchandising.
Source : Numerama
VTunnel propose une connexion anonyme mais surtout sécurisé avec un cryptage SSL (https://).
La vitesse de VTunnel est incroyable, on ne sens presque aucun différence lors du surf ainsi qu’aucun ralentissement lors du visionnage de vidéo Youtube.
En plus de cela, VTunnel propose un accès sécurisé aux clients de messagerie instantanée tels que MSN, Yahoo, AIM …
Comme la plupart des web proxy, VTunnel incorpore des publicités sous forme de bannières en haut de page. Mais celles-ci peuvent être bloquées avec l’extension Ad-Block pour Firefox.
Hide My Ass est un maître dans le domaine de l’anonymat. C’est un Proxy anonyme qui vous permet de surfer sans dévoiler votre adresse Ip aux sites que vous visitez au travers de celui-ci. Mais pas seulement, il propose plusieurs services comme une offre VPN, un hébergeur d’images et de fichiers, une liste de proxy d’IP, des mails anonyme (jetables), un « anonymiseur » de liens et recherche anonyme.
Pour plus d’informations, un test complet est disponible sur notre site.
Anonymouse est un des plus anciens services d’anonymat grand public : Ce service a été crée en 1997 et est aujourd’hui un des plus réputé concernant le surf anonyme. L’un des grands avantages de Anonymouse, à part sa fonction de navigation, est son envoi anonyme d’email.
De plus, pour ses 10 ans d’anniversaire, Anonymouse a lancé une toolbar disponible sur Internet Explorer & Firefox et qui permet en un clic de passer en mode anonyme.
Fondé en 2003, Proxify a pour principal but la protection de l’anonymat sur Internet.
L’avantage de Proxify est qu’il propose une multitude d’options telles que :
Aucune installation supplémentaire de logiciels n’est requise, il suffit juste d’entre votre lien et vous pouvez dès lors surfer en toute tranquillité.
Ce fournisseur de Proxys se démarque principalement par la possibilité de cibler la recherche de proxy selon plusieurs critères tels que la nationalité du proxy, le type de proxy, la confidentialité (SLL ou pas) …
XROXY recense pas moins de 525 proxys dont 509 proxys gratuits.
Il est possible de s’inscrire gratuitement sur le site, et ainsi pouvoir avoir accès au forum où les utilisateurs postent chaque jour de nouveaux proxys. Par contre, attention, le site est en anglais uniquement.
La Sacem et les maisons de disques sont techniquement prêtes à collecter les adresses IP. La SCPP promet même les premiers messages d’avertissement cet été.
Pour la Sacem et la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP, gestionnaire des droits des maisons de disques), c’est l’heure du point d’étape. Les deux sociétés de gestion ont reçu formellement cette semaine les autorisations de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) pour automatiser la collecte d’adresses IP de pirates avec les services techniques du prestataire TMG. Et maintenant ? La Sacem et les majors, qui ont tenu respectivement leur point presse mercredi et jeudi, se disent sur le point de mettre en œuvre cette collecte.
Quand exactement TMG traquera les pirates ?
Soyons clair : on ne sait pas. Ce qui est sûr, c’est que techniquement, c’est possible dès demain, et la Sacem comme la SCPP assurent que ce n’est qu’une question de jours. Tout est prêt, tous les tests ont validé le système depuis un moment. Mais comme l’expliquait mercredi Thierry Desurmont, le vice-président du directoire de la Sacem, tant que l’on ne sait pas quand sera vraiment opérationnelle l’Hadopi (le message d’avertissement n’est pas encore rédigé, par exemple), il ne sert pas à grand-chose de lui transmettre les adresses IP (le secteur de la musique est autorisé à en transmettre jusqu’à 25 000 par jour, idem pour l’audiovisuel).
Quand seront envoyés les premiers messages d’avertissement ?
Même réponse que plus haut : on ne sait pas. Il reste que Pascal Nègre, PDG d’Universal et président de la SCPP, affirme sans détour que la première vague d’e-mails d’avertissement est pour cet été.
Comment TMG repère les pirates ?
Les ayants droit sont actuellement en train d’envoyer à TMG les fichiers musicaux à surveiller. La SCPP lui en a déjà adressé 5 000. Chaque fichier est encodé, identifié et accompagné de ses données de droit d’auteur ; TMG stocke tout cela dans sa base de données. Les maisons de disques et la Sacem comptent ainsi lui transmettre 5 000 grands standards, sans critère de date de sortie, et 5 000 nouveautés. Ces derniers titres seront renouvelés toutes les semaines. Les ayants droit de l’audiovisuel, eux, fourniront une centaine d’œuvres.
TMG collectera donc les adresses IP des internautes qui téléchargeront ces fichiers-là. Ensuite, le prestataire transmettra ce qu’il aura trouvé aux sociétés de gestion de droits et les agents assermentés de ces dernières effectueront une vérification. Ensuite seulement, l’Hadopi prendra le relais. Ce ne sont pas les maisons de disques, la Sacem ou les producteurs de cinéma qui enverront les messages d’avertissement.
Tous les internautes sont-ils visés ?
Pas exactement. TMG fera deux tris dans les adresses IP. Il mettra de côté celles qui correspondent à des entreprises. Et il isolera les adresses IP qui sont à l’origine d’un très important volume de téléchargement (de l’ordre du millier). Pour ces internautes-là, il n’y aura pas de message d’avertissement, mais directement une action judiciaire.
Le P2P est-il seul concerné par la surveillance ?
Les autorisations délivrées par la Cnil ne permettent aux ayants droit de collecter des adresses IP que sur les réseaux peer to peer. Volontairement, comme l’a expliqué la Sacem mercredi, histoire de faire les choses par étape. Quand les ayants droit voudront s’attaquer au streaming illégal ou à d’autres techniques d’échange, ils devront faire une nouvelle demande d’autorisation à la Cnil. « L’Hadopi est tout à fait habilitée à s’attaquer à toutes les formes de piratage », a insisté Thierry Desurmont.
Que dira le message d’avertissement ?
Le message que recevront par e-mail les pirates repérés est toujours en cours de rédaction et c’est le travail de l’Hadopi, même si elle tient au courant les ayants droit. L’idée est de trouver un équilibre entre la menace et l’incitation à télécharger/écouter de la musique légalement. « Dans les premières versions du message, on s’excusait presque auprès du pirate », s’amuse Marc Guez, directeur général de la SCPP. Les maisons de disques souhaiteraient en tout cas que figure la liste des sites légaux de téléchargement et de streaming. Il n’y aura pas en revanche la liste des fichiers téléchargés illégalement qui ont valu à l’internaute de recevoir le message. « Mais l’internaute peut demander à les connaître », précise Marc Guez.
Est-ce que ça va marcher ?
C’est LA question, en tout cas du côté des ayants droit. Pour Pascal Nègre, « l’effet épouvantail » ne fait aucun doute. Il compte même que les internautes qui recevront un e-mail d’avertissement en fassent état sur leurs pages Facebook ou leurs blogs. Et que du coup, cela fasse peur aux autres. Jusqu’à ce que finalement, tout le monde se replie sur les offres légales. Le cercle vertueux de la lutte contre le piratage, en somme.
Source : 01Net
C’est ce qu’on appelle du « Torrent poisoning ». Et c’est peut-être le futur cauchemar des ayants droit. La technique consiste à polluer les réseaux de peer to peer (comme BitTorrent) de fausses adresses IP afin de compliquer la tâche des sociétés chargées de relever les infractions au téléchargement, justement à partir de cette donnée.
Depuis quelques jours, un petit programme, baptisé SeedFuck (sic), circule sur le Net. Il permettrait de réaliser l’opération très simplement. L’efficacité de ce bout de code, repéré par plusieurs blogs (sur hack45, ou bluetouff), n’a pas été vérifiée.
Mais son auteur, Burningmace, explique que son programme permet d’inonder le réseau BitTorrent de milliers de faux « peers » (internautes partageant une partie d’un fichier) associés à des adresses IP bidon. Ces dernières peuvent être fictives… ou réelles. Ce qui laisse imaginer le genre d’emprunt que les internautes anti-Hadopi (et facétieux) pourraient faire du côté de la rue de Valois…
Une arme qui pourrait se retourner contre ses auteurs
Depuis sa mise en ligne, le programme a déjà évolué sous la forme d’une application Web offrant à tout un chacun le plaisir de s’adonner au « Torrent poisoning ».
Ceci dit, ce petit jeu ne serait pas très légal, comme le fait remarquer Eric Freyssinet (@ericfreyss) sur Twitter. Selon ce spécialiste de la cybercriminalité, cette pratique serait passible de l’article 434-23 du code pénal, qui punit de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende, « le fait de prendre le nom d’un tiers [dans ce cas, l'adresse IP, NDLR], dans des circonstances qui ont déterminé ou auraient pu déterminer contre celui-ci des poursuites pénales [pour téléchargement illicite, NDLR]. »
Autrement dit, les victimes d’une usurpation d’adresse IP, repérées par la Hadopi, pourraient se retourner contre les auteurs de cette usurpation. Les amateurs sont donc prévenus.
Le recours au « Torrent poisoning » pose un autre problème, plus basique : inondé de leurres, le réseau ne risque-t-il pas de devenir inutilisable pour ses membres, ou du moins peu fiable ? Ce qui conduirait au bout du compte à l’objectif visé par la Hadopi : neutraliser le téléchargement illicite.
Source 01Net
Après 5 ans de bons et loyaux et services, Mininova s’en est allé tout comme ses millions de torrents. Mais heureusement, il existe un certain nombre d’alternatives à ce géant du torrent. Nous allons voir les principales dans cet article.
Le site réunissait pas moins de 175 millions d’utilisateurs par moi avant d’être contraint de retirer la totalité de ses torrents illicites par un tribunal allemand. Plus d’un million de torrents ont ainsi été retirés.
Bien sur, la mort de Mininova ne laissera pas le monde du P2P indemne, mais avec la multiplicité des alternatives, vous pouvez trouvez vos torrents favoris sans aucun problème.
1. Torrentzap
Remarque : Mononova a conservé les identifiants des utilisateurs de Mininova pour ceux qui veulent migrer vers leur site en toute simplicité.
Le streaming underground est devenu depuis quelques années l’une des méthodes les plus prisées pour visionner des films avec internet. Les internautes sont chaque jour plus nombreux à profiter de ce système pour visionner du contenu gratuitement et immédiatement. Derrière cette gratuité se cache pourtant un véritable business, voici comment certains internautes et webmasters profitent ouvertement de ce nouveau filon.
Lorsqu’un internaute lambda souhaite regarder un film en streaming il faut tout d’abord qu’il trouve le contenu, pour cela il utilise les annuaires de liens , ceux-ci référencent les liens présents sur les différentes plate-formes d’upload comme Megavideo, Movshare ou encore StageVu. Ces annuaires sont la plupart du temps remplit de publicité parfois très intrusive (Pop-up), les webmasters justifient souvent cet acte en citant leurs frais de fonctionnement mais une fois que l’annuaire est suffisamment connu, les frais de fonctionnement sont largement couverts et les webmasters ne se privent pas des bénéfices, certains touchent plusieurs milliers d’euros par mois.
Dans certains cas les webmasters recrutent les meilleurs ajouteurs qui deviennent eux même membres à part entière du site. Dans ce cas la, eux aussi reçoivent de l’argent de la part des webmasters mais il faut bien le dire cette situation est très rare et ceux qui l’ont trouvé gardent très chèrement leur place.
Une fois que l’utilisateur a trouvé le film qu’il souhaite regarder il tombe alors sur un lecteur vidéo, pour notre exemple nous ne citerons que Megavideo. Lorsqu’il souhaite lire le fichier vidéo il clique alors sur le bouton Rouge de lecture, ce qui provoque l’ouverture d’une fenêtre de publicité supplémentaire. Megavideo a mit en place un système de récompenses qui reverse les bénéfices aux uploadeurs.
Comme si cela ne suffisait pas, Megavideo limite ses vidéos à 72min de visionnement. Les utilisateurs doivent soit contourner cette limite avec les moyens du bord soit se payer un compte premium sur Megavideo, les tarifs sont dégressif en fonction de la durée de l’abonnement mais le forfait le plus prisé est sans aucun doute le mois, pour 9.99€ vous pourrez visionnez autant de vidéos que vous le souhaitez sans aucune limitation.
Vous l’aurez compris tout le monde ou presque se fait de l’argent sur le dos du streaming, ni l’uploadeur ni le reférenceur ni même la plate-forme d’upload ne se prive des bénéfices engendrés. Le streaming étant gratuit il est normal que le seuil de rentabilité ne soit pas aussi élevé que sur un DvD par exemple, cependant le modèle basé exclusivement sur la publicité est de plus en plus utilisé (Deezer, M6Replay). Espérons que les sociétés de distributions se pencheront prochainement sur le streaming, il est grand temps que des services similaires à Hulu arrivent enfin sur le vieux continent.
Source : Stream Actu